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Hôtel du Grand Cerf : roman
Livre
Edité par Editions du Seuil. Paris - 2017
Résumé :
A Reugny, petit village au c'ur des Ardennes, plane depuis cinquante ans le secret de la mort de Rosa Gulingen. La star mondiale de cinéma avait été découverte noyée dans la baignoire de sa chambre à l'Hôtel du Grand Cerf, qui accueillait l'équipe de son prochain film ; du bout des lèvres la police avait conclu à une mort accidentelle. Quand Nicolas Tèque, journaliste parisien dés'uvré, décide de remonter le temps pour faire la lumière sur cette affaire, c'est bien logiquement à l'Hôtel du Grand Cerf qu'il pose ses valises. Mais à Reugny, la Faucheuse a repris du service, et dans le registre grandiose : le douanier du coin, haï de tous, est retrouvé somptueusement décapité. Puis tout s'enchaîne très vite : une jeune fille disparaît ; un autre homme est assassiné. N'en jetons plus : l'inspecteur Vertigo Kulbertus, qui s'est fait de l'obésité une spécialité, est dépêché sur place pour remettre de l'ordre dans ce chaos. < Le noir, pour peindre les m'urs, c'est une bonne couleur >, dit l'auteur. Ecrite dans un style impeccable, cette enquête faussement classique verra tout un village passé au crible de la plume si particulière de Franz Bartelt, toujours entre burlesque et mélancolie. Dans Hôtel du Grand Cerf, on rit énormément, mais tout est élégant, et rien n'est banal.
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Un polar jubilatoire
Dans un petit village des Ardennes belges, un mystère plane depuis 50 ans autour de la mort d'une actrice internationalement connue. Elle fut retrouvée morte dans la baignoire de sa chambre à l'hôtel du Grand Cerf, un hôtel à la décoration surannée, lieu lui-même assez mystérieux : assassinat ? suicide ? accident ?... Un journaliste parisien est envoyé sur les lieux pour enquêter mais lorsqu'il arrive sur place, le douanier vient d'être assassiné et une jeune fille a disparu... Vertigo Kulbertus, inspecteur à 14 jours de la retraite et dont la philosophie de vie est de grossir le plus possible, va employer des méthodes peu orthodoxes voir carrément amorales pour faire jaillir la vérité. Un humour noir et des dialogues façon Michel Audiard, à la lisière de la vulgarité et de la poésie pour cette intrigue à la Agatha Christie qui nous tient en haleine jusqu'au bout !
Raphaëlle DELMAS - Le 31 octobre 2017 à 14:58